Ces fils invisibles qui nous relient à nos ancêtres
- sylvitality13
- 8 nov.
- 2 min de lecture
Depuis que j’explore ma propre généalogie — et plus encore depuis que je l’aborde à travers la numérologie transgénérationnelle —, je reviens sans cesse au même point : un arrière-grand-père paternel, tombé à la guerre de 14.
C’est comme si toute ma lignée m’y ramenait.
Il est décédé un 25 septembre.
Mon père est né un 30 septembre.
Et moi, je suis née un 23 septembre.
Des dates qui s’appellent, se répondent, se font écho à travers le temps.
En numérologie, les dates vibrent, elles traduisent des cycles, des transmissions, des fidélités inconscientes. Rien n’est tout à fait un hasard.
Cet ancêtre, je l’ai retrouvé enterré en France… par les Allemands.
Plus tard, j’ai découvert que ma grand-mère avait aimé un Hollandais, une union empêchée par la guerre — mais de cet amour est né un enfant au prénom germanique.
Et, sans que je m’en rende compte, plusieurs prénoms d’origine germanique se sont invités dans ma propre descendance.
Comme si ce lien, à la fois douloureux et fondateur, cherchait encore à se dire.
Ce type de résonance est fréquent : les histoires inachevées, les amours empêchées, les pertes ou les deuils non faits peuvent se transmettre silencieusement.
Elles se rejouent parfois à travers des dates, des prénoms, ou même des choix de vie.
Explorer sa généalogie et sa numérologie, c’est apprendre à écouter ce langage invisible, à reconnaître les charges que nous portons sans le savoir, mais aussi les dons hérités de ceux qui nous ont précédés.
C’est un travail d’enquête et de réparation.
Il demande du temps, mais il apporte de la clarté, de la légèreté et de la paix intérieure.
C’est exactement ce que j’accompagne à travers mes études transgénérationnelles : une plongée dans votre lignée pour retrouver du sens, du souffle, et renouer avec votre propre destinée.
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